Comment réaliser efficacement un audit technique SEO en 10 étapes

Étape 2 : Crawler le site et commencer l’analyse

D’abord, il vous faut choisir les outils que vous utiliserez pour cette tâche.

Pour ma part, j’accorde le temps nécessaire pour configurer les 5 outils suivants :

• Screaming frog, un logiciel PC de crawling ;
• Sitebulb, un logiciel PC d’audit ;
• Oncrawl, un outil de crawling basé sur le cloud ;
• Ahrefs, un outil de crawling basé sur le cloud ;
• SEOcrawl.com, pour la visualisation de la Google Search Console.

Une fois les premiers crawls effectués, vérifiez vos données pour vous assurer que vous avez bien fait les configurations.

Vos crawls doivent intégrer les données de Google Search Console, Google Analytics, ou Ahrefs ou Majestic via leur API.

Quant aux outils de crawling basés sur le cloud, vous avez maintenant la possibilité de configurer les types de pages et les différentes sections du site web. Certes, ce sont des tâches chronophages mais, je m’y attelle méthodiquement.

Pour les petits sites, le crawling peut durer une trentaine de minutes. Quant aux grands sites, il faut compter 2 à 3 jours. Cela dépend d’à quel point le crawler peut aller vite sans épuiser les ressources serveur.

Même si vous avez obtenu les permissions de la GSC, nul besoin d’augmenter la vitesse du crawler. En effet, les équipes de développement peuvent finir par bloquer les robots utilisés par les différents outils de crawling.

Le vrai challenge commence quand vous obtenez vos rapports de crawling. À moins que le client ne vous ait communiqué ce qui ne va pas avec le site en amont, vous devrez y aller pas à pas pour identifier les potentiels problèmes.
Une inspection minutieuse de chaque aspect du rapport vous aidera à hiérarchiser les éléments de votre site web qui pourraient avoir un impact négatif sur celui-ci.

Pour ma part, je procède par élimination une fois que j’ai le rapport de chaque outil de crawl. Je me focaliserai en priorité sur les problèmes dont la résolution apportera de meilleurs résultats.

Voici quelques points sur lesquels mettre un accent particulier :

Étape 3 : Examiner Google Search Console et Analytics

Une fois que vous avez compris les rapports de crawling, l’étape suivante consiste à examiner individuellement les données de la Google Search Console et de Google Analytics. Même si vous avez ajouté leurs API aux outils de crawling, il est toujours utile d’examiner séparément ces données.

La GSC vous aide à identifier les problèmes de référencement de votre site web. Il vous donne également des informations précieuses sur les erreurs de crawl, les liens brisés et d’autres problèmes pouvant affecter les performances de votre site web.

Quant à Google Analytics, il fournit des informations détaillées sur les interactions entre les utilisateurs et votre site. Ces informations incluent le nombre de visites, le temps passé sur le site et le taux de conversion des utilisateurs.

Ces données peuvent vous aider à identifier les problèmes liés à l’expérience utilisateur et comment l’améliorer. Google Analytics et Google Search Console vous aideront à mieux comprendre l’impact du comportement des utilisateurs sur vos performances globales.
Ainsi, en vérifiant les changements dans vos classements, les impressions, les clics et d’autres mesures, vous pouvez identifier un problème passé inaperçu sur d’autres outils de crawl.

Par ailleurs, vous pouvez examiner les erreurs ou les avertissements de la GSC pour voir si des problèmes techniques urgents doivent être résolus au plus tôt. C’est le cas par exemple d’une erreur 404.

De plus, en examinant les données analytiques, vous pourrez identifier des erreurs liées à la responsivité de votre site web. Il peut s’agir d’un faible taux de clics, d’un taux de rebond élevé ou d’une page qui charge lentement.

Une fois ces problèmes identifiés, classez les par ordre de priorité et établissez un plan pour les régler. Vous pouvez commencer par :
Apporter des modifications au code de votre site, si besoin ;
Mettre au point une meilleure stratégie SEO ;

Il convient de noter que les images comptent aussi dans une stratégie SEO. Vous pourriez avoir besoin, par exemple, de changer les dimensions d’une image ainsi que son texte alternatif.
Le but final ici est de comparer les résultats de Google avec les rapports précédents de crawling. À ce stade, vous avez une vue d’ensemble des performances de votre site. L’on peut maintenant poser des actions pour les améliorer.

Étape 4 : Identifier les problèmes de crawlabilité et d’indexation

Comment la crawlabilité et l’indexation vont-elles de pair ?

La crawlabilité désigne le processus via lequel les robots des moteurs de recherche réussissent (ou non) à trouver et parcourir chaque page critique de votre site web. L’indexation est la possibilité pour une page d’apparaître dans les résultats des moteurs de recherches une fois qu’elle a été crawlée.

Si une page est inaccessible pour une raison ou une autre, elle ne sera pas indexée et n’apparaîtra donc pas dans les résultats des moteurs de recherche. Toutefois, une page peut être crawlée sans pour autant être indexée.

Pendant un audit technique de référencement, il vous incombe de déterminer pourquoi la crawlabilité ou/et l’indexation a échoué. C’est une condition sine qua non.

Pour ce faire, vous pouvez utiliser Screaming Frog SEO Spider pour identifier toute erreur potentielle de crawling. Ensuite, utilisez la Google Search Console pour vérifier les potentielles erreurs d’indexation. Vous pouvez aussi utiliser des outils spécialisés dans ces tâches.

Une fois que vous identifiez une erreur d’indexation ou de crawlabilité, notez les et determinez en la cause. Les erreurs courantes de crawlabilité proviennent notamment de :

• Un grand nombre de liens brisés ;
• Liens internes inadaptés ou inégaux ;
• Sitemaps XML incomplètes ou déficientes ;
• La mauvaise architecture de l’information ;
• La résolution des problèmes de rendu sur les sites web utilisant le javascript ;
• L’utilisation incorrecte du fichier robots.txt où des URL spécifiques sont bloquées contre l’exploration.

Nota Bene : Dans le cas d’un site qui tourne sur JavaScript, le paradigme “Crawling – Indexation” devient “Crawling – Indexation – Rendu”.

Comment corriger les liens brisés

Quand on en vient au référencement technique, les liens brisés sont un problème majeur. Si les robots des moteurs de recherche sont incapables d’accéder à une page, ils ne peuvent pas l’indexer.

Par conséquent, la visibilité de votre site dans les pages des résultats des moteurs de recherche (SERPs) peut être réduite.
Aussi, pensez à allouer du temps pour traquer tous les liens internes et identifiez les parties de votre site qui ne reçoivent pas suffisamment de ces liens. C’est un aspect important du SEO technique.

Il vous permet d’identifier et de prioriser la résolution des problèmes qui entravent les performances de votre site.
À l’issue des rapports de crawling et des recherches effectuées dans GA et GSC, vous devriez avoir une liste exhaustive de tous les liens brisés de votre site. Dès ce moment, votre seule option est de supprimer ces liens ou de les remplacer par des liens valides.

Auditer les sitemaps XML

Un sitemap XML est un fichier spécial qui indique aux moteurs de recherche les pages à crawler et indexer. Le sitemap augmente vos chances d’apparaître plus vite dans les résultats de recherche.

Pour faire vérifier son sitemap :
Allez dans la Google Search Console ;
Cliquez sur Sitemap dans la barre latérale gauche ;
Cliquez sur “Ajouter/tester un sitemap” et saisissez l’URL du sitemap.

Suite à quoi, Google commencera à l’explorer afin de vous fournir un rapport. Ici, vous devez vous assurer que chaque URL de votre sitemap :
Est utile à votre site web ;

Ne contient que des URL conformes (format HTML, 200HTTP, URL auto-canonique) ;

Est liée à la structure du site web.

Si vous avez tout bien fait, chaque URL de votre sitemap devrait être crawlée et indexée. Ces 3 conditions sont indispensables pour être sûr que toutes vos URLs se font indexer. Il arrive cependant que l’audit d’un sitemap XML vous mène à des recherches plus profondes que nécessaire.

Auquel cas, la responsabilité vous revient de trouver pourquoi tous les liens du sitemap ne sont pas indexés.

Créer des fichiers robots.txt

Un fichier robots.txt indique aux robots des moteurs de recherche les URLs qu’ils doivent éviter de crawler et indexer. Ce fichier peut être très utile si vous voulez que certaines pages de votre site web ne soient pas visibles dans les SERPs.

Par exemple, si vous avez une page qui contient du contenu sensible ou dupliqué, vous pouvez utiliser le fichier robots.txt pour empêcher l’indexation de cette page. Pour créer ce fichier, vous devez ajouter du code dans un fichier au format texte (txt).

Une fois le document créé dans Bloc-Notes, il vous suffit de l’ajouter dans le répertoire racine de votre site web. Cette étape est l’une des plus importantes de l’audit de référencement technique. Car, tout problème d’indexation ou de crawling limite drastiquement la visibilité de votre site web dans les SERPs.

Vérifier la duplication au niveau de la plateforme

Avoir du contenu dupliqué sous le même domaine avec un protocole de domaine différent est chose courante.

Par exemple, les liens https://fastbullettrain.com/category/url1 et

http://fastbullettrain.com/category/url1 peuvent tous les deux renvoyer une erreur HTTP 200.

Ce problème peut aussi survenir entre les versions www et non-www du domaine.

Dans ce cas, le contenu est dupliqué et réutilisé pour les différentes versions de l’URL. Ce qui peut diluer l’équité de vos liens et troubler Google et les utilisateurs. Finalement, ceux-ci pourraient se retrouver sur la mauvaise version de votre domaine.

Etape 5 : Revue des Éléments On-Page

Les éléments On-Page auxquels nous faisons allusion ici sont :

• Les titres et les balises des pages ;
• La Structure des données ;
• Les balises canoniques ;
• Les méta-descriptions ;
• Les balises Hreflang.

Tous ces éléments indiquent aux robots des moteurs de recherche le sujet de la page et son niveau de pertinence par rapport aux requêtes des utilisateurs.

Pendant votre audit SEO, vous devez comparer chaque élément avec les normes recommandées et les consigner dans un rapport. Par exemple, les balises de titre doivent être uniques, ni trop longues, ni trop courtes et contenir le mot-clé cible.
Il en va de même pour les méta descriptions. Elles doivent être uniques, descriptives et comporter moins de 150 caractères, espaces compris.

En outre, si l’audit porte sur du référencement international, vérifiez leur conformité pour les paramètres suivants :

• L’utilisation correcte de la langue sur la page ;
• Les conflits potentiels avec les balises canoniques (problème courant) ;
• L’utilisation appropriée de Hreflang et de sa syntaxe (ce qui n’est pas facile).

Si la balise canonique indique à Google la version originale d’une page, la balise hreflang quant à elle indique aux robots des moteurs de recherche quelle est la langue de la page et la région de destination.

Cette nuance est utile car plusieurs sites de votre réseau peuvent publier des articles sur le même sujet avec des spécificités propres aux régions ciblées.

C’est pour cela que les balises canonique et hreflang sont aussi importantes en référencement international.

Etape 6 : L’optimisation des images

Les images sont devenues une partie essentielle du SEO. Elles fournissent aux utilisateurs des repères visuels qui rendent le contenu plus digeste. Mais, les images seules ne suffisent pas.
Optimiser ses images en choisissant la bonne taille, le bon type de fichier et les bons attributs peut également améliorer votre classement dans les moteurs de recherche.

Heureusement, les erreurs relatives apparaîtront dans l’audit. Ces erreurs sont le plus souvent relatives à la vitesse de la page, une mauvaise taille d’image, les images cassées et un texte alternatif manquant.

Les problèmes de Vitesse du Site

Plus petite est une image, plus vite elle charge. Ainsi, si vos images sont trop volumineuses, cela aura une incidence directe sur le temps de chargement du site. Toutefois, vos images ne doivent ni être trop grandes ni trop petites si elles veulent avoir une chance d’être classées.

Il vous faut donc les compresser pour réduire leur taille un minimum. À cet effet, des outils comme TinyPNG ou CompressJPEG viennent à point nommé pour redimensionner et compresser vos images.

La taille Incorrecte des Images

Lorsque vous ajoutez des images à votre site, vous devez veiller à ce que leurs tailles soient correctes. Si une image est trop petite ou trop grande, elle s’intégrera mal dans le design de la page. Elle pourrait ainsi apparaître floue ou déformée au grand dam de vos lecteurs.

En outre, vous devez également spécifier la taille de vos images en utilisant du HTML.

Les images Cassées (404)

Voici une autre erreur que je rencontre fréquemment lors de mes audits SEO. Une image cassée est une image qui ne se charge pas sur le site. Un lien mort, du code corrompu ou un type de fichier incompatible peut causer ce problème.

Lorsqu’une image se casse, le cadre de l’image apparaît mais pas la photo. Votre but sera de repérer des patterns vous permettant d’identifier la raison derrière cette image cassée. Par exemple, une récente migration du site web pourrait ne pas avoir pris en compte les images.
Celles-ci n’ont donc pas été redirigées au même titre que les URLs des pages.

Le texte ALT Manquant

Le texte alternatif est un moyen de fournir aux robots des moteurs de recherche des informations supplémentaires sur une image. Ce texte doit être descriptif et contenir le mot-clé cible. Il aide ces robots à mieux comprendre le contenu de votre page.
Finalement, cela accroît sa pertinence par rapport aux requêtes des utilisateurs.

Les types de Fichiers et les images Gratuites

Ici, vous devrez juste veiller à utiliser les bons types d’image. Les formats recommandés sont le JPG et le PNG car ils ont une taille de fichier plus petite que les autres formats. Le format PNG est plus indiqué pour les logos et autres designs similaires. Quant au JPEG, il est plus indiqué pour les photos et autres images très détaillées.

En réduisant et en optimisant toutes vos images, les performances de votre site n’en seront que meilleures.

Étape 7 : Approfondir les Liens Internes

Les liens internes sont l’un des aspects fondamentaux du référencement technique. Pourtant, ce sont juste des liens qui lient une page à une autre.

Les liens internes sont indispensables car :

• Ils aident les robots des moteurs de recherche à parcourir votre site web et à comprendre le contenu de chaque page ;
• Il vous permet de partager des liens entre les pages, ce qui peut contribuer à améliorer votre classement dans les moteurs de recherche ;
• Il vous permet de tirer parti de l’autorité de votre site web ;
• Vous pouvez envoyer du trafic d’une page bien classée vers une page moins bien classée.

En référencement technique, aucun point n’est à négliger. Voici quelques points à prendre en compte concernant vos liens internes :

concernant vos liens internes :

• Les liens doivent être codés en html. Les liens internes en Javascript sont déconseillés ;
• Evitez les redirections en chaîne excessives et les redirections inutiles ;
• Les liens doivent être faciles à trouver et clairement visibles sur la page ;
• Les liens doivent également être descriptifs afin d’aider à comprendre le contenu des pages auxquelles ils renvoient ;
• L’utilisation étrange de « nofollow » dans des segments spécifiques est à surveiller ;
• Veillez à ce que la plupart des liens internes, censés être permanents, soient des liens 301HTTP ;
• Les liens internes brisés renvoient 404 HTTP
• Ces liens créent une mauvaise expérience pour l’utilisateur et nuisent au classement de votre site dans les moteurs de recherche.

Étape 8 : Passez en revue les liens externes

Au même titre que les liens internes, les liens externes ne sont pas à négliger. Ce sont des liens qui pointent vers d’autres sites web. Ces liens ont pour rôle principal d’augmenter l’autorité de votre site web.

Lorsque vous réalisez un audit technique SEO, vous devez passer en revue vos liens externes et vous assurer que :

• Ils fonctionnent correctement. Des liens externes cassés entront raîneune mauvaise expérience pour l’utilisateur et un gaspillage de liens ;
• Les liens externes sont pertinents par rapport au contenu auquel ils renvoient ;
• Les liens externes ont un rapport avec le contenu ;
• Il existe un bon équilibre entre les backlinks « dofollow » et « nofollow » ;

Par ailleurs, les liens externes nécessitent plus de travail que les liens internes. Pour cause, vous n’avez aucun contrôle sur ces liens. Il vous faut donc vérifier régulièrement que ces liens fonctionnent toujours et que le contenu qui y est lié est toujours pertinent.

En outre, il faut garder à l’esprit que les liens externes sont utilisés par les robots des moteurs de recherche pour vous attribuer un score de crédibilité. Ainsi, si votre lien provient d’un site de mauvaise qualité,cela peut nuire à l’autorité de votre site.

De ce fait, établissez des liens externes uniquement avec des sites web de sources réputées pour vous assurer une bonne position dans les moteurs de recherche.

L’objectif principal est d’éviter de lier vos articles avec d’autres articles qui ne mènent nulle part. Car, plus longtemps vous garderez un utilisateur sur votre site, plus vous aurez de chances de le convertir en leads ou en ventes.


Ce que vous voulez, ce sont des lecteurs engagés qui :
Cliquent sur votre site web ;
Absorbent votre contenu ;
Cliquent sur vos publicités ;
Rechercher sur votre site la solution à leurs problèmes.

Et pour y arriver, rien de mieux qu’un écosystème complet de liens internes et externes.

Étape 9 : Analyser les Performances des Pages et la Vitesse du Site

Même si vos lecteurs adorent votre contenu, ils risquent de se lasser face à un temps de chargement lent et de quitter votre site avant même d’avoir pu consommer l’information.

Imaginez : vous êtes en pause-déjeuner, vous voulez passer une commande en ligne. Mais, le site plante sans arrêt. Frustré, vous quittez la page pour aller ailleurs.C’est exactement ce que vos visiteurs ressentiront si votre site tarde à charger. Ils ne pourront tout simplement pas lire votre contenu si la page met trop de temps à s’afficher.

Depuis juillet 2018, Google considère la vitesse de chargement de la version mobile d’un site comme un facteur de classement dans les résultats de recherche organique. Ainsi, pour améliorer votre classement, votre site doit charger le plus vite possible.

Analyser et améliorer la performance des pages est déterminant pour l’expérience utilisateur. Ce qui aura un impact positif sur votre positionnement dans les moteurs de recherche.

Par ailleurs, lorsque vous examinez la performance des pages et la vitesse de ton site dans le cadre de ton audit SEO, assurez vous d’analyser les métriques suivantes :

Temps de Chargement des Pages

Idéalement, tes pages doivent se charger aussi vite sur ordinateur que sur mobile. Plus une page met du temps à se charger, plus le risque de perdre des visiteurs augmente.

Temps de Réponse du Serveur

Un serveur qui répond lentement entraîne une mauvaise expérience utilisateur.
Avez-vous déjà vu un message indiquant que le serveur ne répondait pas parce qu’une page mettait trop de temps à charger ? C’est une situation frustrante. Et cela oblige souvent à rafraîchir plusieurs fois.

Poids des Images

Des images trop lourdes ralentissent ton site. C’est pour cela que j’y ai mis un accent particulier un peu plus haut.

Taille des Pages

Toutes vos pages doivent être optimisées pour la vitesse sans faire trop de compromis sur la qualité des images et autres éléments. Plus vous ajoutez de médias à votre site, plus la page devient lourde et prend du temps à charger.

Core Web Vitals

Validation HTML/CSS

Les erreurs dans ton HTML ou CSS peuvent ralentir le temps de chargement. Une erreur oblige le navigateur à travailler davantage. Ce qui nuit à la rapidité de la page.

En résumé, vous devez travailler main dans la main avec Google. Et Google veut juste que les utilisateurs restent le plus longtemps possible sur une page. C’est pour cela qu’ils favorisent les sites qui offrent la meilleure expérience utilisateur.

Vous devez donc concentrer vos efforts pour avoir un site
Rapide ;
Optimisé pour la performance ;
Qui propose du contenu structuré, pertinent et engageant.
Si vous surveillez régulièrement ces aspects, vous vous rapprocherez lentement mais sûrement de vos objectifs SEO..

Étape 10 : Exécuter un crawl en parallèle avec JavaScript activé

Cette étape n’est pertinente que si votre site repose sur des technologies comme NextJS, AngularJS ou d’autres frameworks basés sur Javascript.

Même si votre client vous a indiqué que le rendu côté serveur fonctionne sur toutes les pages, il est préférable de vérifier tout ça vous-même.

En lançant un second crawl avec Javascript activé, vous pourriez identifier des éléments qui seraient passés inaperçus lors d’un crawl classique.

Souvent, certaines parties du site ne sont pas rendues côté serveur, ou la navigation du site ne se charge qu’au niveau de la requête de l’utilisateur.
Cela signifie que les robots de recherche pourraient ne pas voir les éléments de navigation principaux. Ils ne peuvent accéder au contenu qu’à travers le HTML, les sitemaps XML ou les liens internes.

Pour vérifier cela, comparez le nombre total de pages entre le crawl textuel et celui en Javascript. Si les résultats diffèrent, cela signifie qu’il y a des parties de votre site à examiner de plus près. Notamment pour vérifier si elles sont bien indexées et n’ont pas de problèmes de rendu.
L’outil d’inspection dans la Google Search Console (GSC) est très utile pour ce type de diagnostic.